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Extrêmement prestigieux, l'atelier avait une clientèle suivie. Son
carnet de commandes ne désemplit pas jusqu'en 1973 environ, sans toutefois
retrouver le niveau des grandes années de la guerre. A partir
de la première crise du pétrole, l'atelier connait des difficultés,
liées à celles de l'édition du livre d'art. Selon François Da Ros,
les Fequet et Baudier n'ont pas su non plus suivre les évolutions
du marché, les changement de goût des clients. Après 1973, ils se
lancèrent dans la monotype pour s'adapter au marché. François Da Ros
était très impliqué dans la vie de l'atelier, au point de posséder
quatre parts de la société. Il espérait reprendre l'atelier, afin
d'en assurer la succession, suivant le schéma bien connu du prote
qui devient le patron. Pendant sept ans, il discuta ferme avec ses
patrons. Ces derniers lui proposèrent finalement de lui céder l'atelier
pour.............. *, ainsi que les deux compagnons. Faute d'argent,
François Da Ros refusa. Il leur proposa de racheter le local sans
les déloger, mais ne parvint pas à les convaincre.
* En 1981, Fequet et Baudier vendent à R. Dutrou leur
atelier avec toutes les machines et les caractères pour..................
Il décida alors de les quitter à la fin de l'année 1978,
pour faire un stage de mécanique pendant un an, à l'école ORT. En effet,
il avait le projet de monter une imprimerie mais, faute de moyens financiers,
il ne pouvait pas acheter de machines neuves. Il envisageait alors de récupérer
des machines qui partaient à la casse et de les installer dans son imprimerie.
Après sa formation de mécanicien, François Da Ros chercha à s'installer
à son compte comme typographe, mais il ne trouva pas de local à sa convenance.
Il rencontra le typographe |
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